A word from the president
Faced with our world's rapid development, which undoubtedly foretells the depletion of certain raw materials, it is impossible to fail to take environmental factors into account. We must learn to do things differently, to work and produce in a more virtuous manner, so we can continue to coexist.
This is why I have chosen to invest in the energy transition, industry, architecture and design sectors. I am confident that, by relying on a high level of quality and innovation, we will be able to rejuvenate France and export our expertise to international markets while keeping jobs within our borders.
French production
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Léonard de Vinci au Louvre : la peinture pour recréer le monde
Léonard de Vinci au Louvre : coup de projecteur sur le génie de la Renaissance
Autodidacte, visionnaire avec une curiosité insatiable, Christophe Février se considère « un homme sans lettres » tout comme le grand humaniste Léonard de Vinci. Mort il y a 500 ans à Amboise, le grand peintre de la Renaissance et notre cher industriel d’Angers ont tous les deux des parcours hors normes. Selon Léonard, la meilleure des écoles est l’expérience directe et les carrières de ces deux hommes en est la preuve.
« Le désir de savoir est naturel aux bons. » Léonard de Vinci
Fier de son patrimoine, Christophe Février souhaite transmettre les valeurs de l’humanisme, la culture et l’éducation artistique aux futures générations. C’est pour cela que ce nouveau mécène du Louvre, Les Manufactures Février, vient de graver son nom parmi les grands donateurs dans la Rotonde de Mars, au sein du plus important musée français : Le Louvre. De plus, Christophe Février est ravi de pouvoir organiser une visite privée de l’exposition Léonard De Vinci et faire découvrir à ses collaborateurs les œuvres rares de ce génie visionnaire. « Avec Léonard, l'oeuvre est une expérience qui ne trouve jamais de fin » dit Vincent Delieuvin, conservateur au musée du Louvre et co-commissaire de l'exposition.
Un événement historique et d’exception
Pour rendre hommage au maître de la Renaissance, le musée du Louvre a organisé la plus grande rétrospective de Leonard de Vinci avec 160 œuvres exceptionnelles, certaines prêtées par la reine d'Angleterre, le British Museum, le Vatican et Bill Gates. Cette exposition offre l'occasion unique d'admirer onze tableaux (avec la Joconde) de Léonard alors que seulement vingt-et-un sont attribués par les experts à l’artiste. Parmi eux, La Sainte Anne, Saint Jean-Baptiste et la Madone Benois, prêté par le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg.
Cette rétrospective inédite permet de montrer combien Léonard a mis la peinture au-dessus de tout et comment son enquête sur le monde, qu’il appelait « la science de la peinture », fut l’instrument de son art, dont l’ambition n’était rien moins que d’apporter la vie à ses tableaux. « Léonard est quelqu'un qui est habité par l'idée de dépasser les limites de l'humanité » explique Vincent Delieuvin, conservateur au musée du Louvre et co-commissaire de l'exposition.
Aboutissement de plus de dix années de travail, qui ont vu notamment l'examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d’entre eux, permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l’exposition clarifie également la biographie de Léonard en reprenant tous les documents d’archives. Elle dresse le portrait d’un homme et d’un artiste d’une extraordinaire liberté.
L’expérience de réalité virtuelle En tête-à-tête avec la Joconde, réalisée en partenariat avec HTC Vive Arts, permettra au public de découvrir le tableau de plus près. Ainsi, les visiteurs auront l’occasion de voir les couleurs d'origine du portrait, la véritable coiffure du modèle, mais aussi comprendre la technique du « sfumato » et même traverser le patio où La Joconde a posé.
« On a un mythe en tête, des images de peintures et de dessins, mais derrière ces images, il y a des œuvres d'art qui ont une puissance, une émotion en elles éblouissantes, témoigne un des commissaires de l’exposition Vincent Delieuvin. Je crois qu'on ne sort pas indemne de cette visite. »
De gauche à droite: Lydia Harambourg et Clotilde Scordia, historiennes d'art, Christophe Février, mécène du Louvre, Evi Keller, artiste, Chase Doolan, conseillère artistique,
Linda Hellal, directrice marketing stratégique et Jean-Paul Bath, directeur du French Design
Crédit photo © Jan Malaise
Commissaire(s) :
Vincent Delieuvin, conservateur en chef du Patrimoine, département des Peintures, et Louis Frank, conservateur en chef du Patrimoine, département des Arts graphiques, musée du Louvre.
Exposition : Léonard de Vinci
Du 24 octobre 2019 au 24 février 2020
Pour plus d’informations : www.louvre.fr
Eugène Delacroix : du passé au présent
Installé dans le dernier atelier du peintre romantique, le musée Delacroix est un lieu de mémoire, de création et de vie. A ce sujet, Delacroix écrivait dans son journal : "La vue de mon petit jardin et l’aspect riant de mon atelier me causent toujours un sentiment de plaisir."
Passionné de culture, d'histoire et de patrimoine, Christophe Février président du groupe Les Manufactures Février, mécène du Louvre et féru d’art, a souhaité faire découvrir à ses collaborateurs, partenaires et clients, le processus créatif de ce grand maitre de la peinture romantique du XIXe siècle et son laboratoire intime.
Retour en images de la visité privée du musée Delacroix lors de l’exposition "Dans l’atelier, la création à l’œuvre" en septembre dernier.
L’occasion d’admirer un ensemble d’œuvres du maitre ponctué par quelques œuvres d’artistes contemporains
dont Laurent Pernot, Anne-Lise Broyer et Jerôme Zonder. Ils décrivent leur relation spécifique à l’atelier :
« Pour Laurent Pernot, l’atelier est un lieu de recherche et d’actions ; un endroit où les idées sont soumises à l’épreuve de la matière, telles des graines qui germeront ou non ; un refuge solitaire à l’abri des distractions et des agitations humaines. L’atelier est comme un jardin dont il faut prendre soin sans interruption afin de préserver sa fertilité. C’est aussi un lieu où l’on dépense temps et énergie pour ses réalisations. »[1]
Dans le travail de Laurent Pernot, la mémoire est un sujet essentiel. Son œuvre MEMORIA, installée dans le jardin, est le résultat d’un geste de dégradation d’un mot constitué de lettres de pierre. L’œuvre évoque la fonction muséale et donc mémorielle du lieu.
De son côté Jérôme Zonder, présente un grand dessin, une figure couchée, composée ou plutôt décomposée en quatre parties ; comme un possible assemblage de moments, de genres, le temps d’un corps qui se rêve. L’artiste souligne ainsi l’héritage de Delacroix, toujours vivant, maillon essentiel de l’art figuratif moderne. [2]Zonder questionne aussi l’image comme système de représentation, faisant cohabiter le tout et la partie, le proche et le lointain.
Anne-Lise Broyer, quant à elle, a choisi, en concevant le miroir dans lequel se reflète le jardin de Delacroix, d’associer le goût pour la nature du peintre à l’intimité de l’espace de son atelier. Son œuvre embrasse trois lieux différents que Delacroix fréquentait : le parc de George Sand à Nohant, le jardin de sa maison de Champrosay, celui de son atelier. Espace et temps ne font plus qu’un et le visiteur est invité à guetter l’image des souvenirs du peintre ainsi réinventés. [3]Delacroix écrivait dans son Journal : « Dans la peinture, il s’établit comme un pont mystérieux entre l’âme des personnages et celle du spectateur. »[4]
Musée national Eugène Delacroix
Exposition "Dans l’atelier, la création à l’œuvre"
Du 15 mai au 30 septembre 2019
Commissaires : Dominique de Font-Réaulx, musée du Louvre, et Léa Bismuth pour l’art contemporain.
Laurent Pernot, Memoria, 2019
Pierre reconstituée, acier
Production spécifique Musée national Eugène-Delacroix
Jérôme Zonder, Je est un autre, 2019
Fusain, mine graphite et impression sur papier
Production Musée national Eugène-Delacroix
Anne-Lise Broyer, Champrosay, 2019
Miroir au tain gratté sur tirage argentique contrecollé sur aluminium
Œuvre réalisée avec le soutien de La Galerie Particulière, Paris
[1] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[2] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[3] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[4] EUGÈNE DELACROIX, Journal, octobre 1822, nouvelle éd. intégrale établie par Michèle Hannoosh, Paris, José Corti, 2009, tome 1, p. 90
Les Manufactures Février, mécène du FESTIVAL ECRITURES DES AMERIQUES
Le groupe Les Manufactures Février, sous l’impulsion de son président Christophe Février, s’engage dans le soutien de la création littéraire contemporaine.
Né de la rencontre et de la volonté de l’écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé et de l’industriel Hugues Despointes, désireux de célébrer la littérature caribéenne, le Festival Ecritures des Amériques a vu le jour en 2000 et fêtera bientôt ses 20 ans.
Du 14 au 23 novembre, 12 écrivains viendront à la rencontre du public antillais. Au programme : des rencontres littéraires, des conférences/débats, des ateliers d’écriture et des rencontres avec les scolaires, des lectures et des temps de convivialité, dans les plus beaux sites patrimoniaux et culturels de Martinique et Guadeloupe.
Un prix littéraire se transforme en festival annuel
Ce prix littéraire crée en 2000, devenu au fil des années le Festival Ecritures des Amériques, « incarne l’esprit d’échange et d’ouverture qui gouverne la caravelle d’auteurs qui, chaque année, vient de ce côté́ de l’Atlantique célébrer la littérature, » déclare Marie-Abraham Despointes, présidente du Festival.
Désormais annuel, le Festival Ecritures des Amériques 2019 se tient en Martinique jusqu’au 17 novembre et en Guadeloupe du 18 au 23 novembre, avec pour marraine, la chanteuse et écrivaine martiniquaise, Viktor Lazlo. Une façon pour cette manifestation littéraire qui a pour but de favoriser les échanges entre écrivains de la Caraïbe et d’ailleurs, d’élargir son territoire d’action et son rayonnement.
« Ce festival, donne pour moi tout son sens à ce qu'on appelle l'Amérique Latine : l'Amérique de tous, du métissage, celle qui appartient à tous et à toutes les voix, » nous confie l’écrivain Santiago Gamboa.
Cette initiative, en droite ligne avec les actions de mécénat du groupe LES MANUFACTURES FEVRIER, s’inscrit dans les objectifs de soutien en faveur de la Culture et de l’Education fixés par son président Christophe Février :
« La lecture développe naturellement les compétences de langage et améliore le vocabulaire mais elle permet bien plus encore. Initier un enfant à la lecture c’est lui permettre de libérer son imagination, renforcer sa créativité et encourager ses capacités d’expression, notamment dans ses émotions, et c’est peut-être là, le bénéfice le plus important, car c’est lui donner toutes les clefs pour prendre en main son avenir. »
« Avec ce Festival Écritures des Amériques, nous sommes en train de vivre l'une des fonctions les plus irremplaçables de la littérature. En effet, nous écrivons pour découvrir l'autre, et là se joue le vivre ensemble, dans ces rencontres inoubliables permises par un festival littéraire, une occasion si rare dans le monde, qu'on doit s'autoriser à profiter de chaque instant ! » constate l’écrivain Ali Zamir.
Les auteurs présents pour cette édition 2019 :
- Douglas KENNEDY
- Miguel BONNEFOY
- David FOENKINOS
- Gaël OCTAVIA
- Makenzy ORCEL
- Véronique OVALDÉ
- Gary VICTOR
- Viktor LAZLO
- Santiago GAMBOA
- Léonor DE RECONDO
- Mayra SANTOS - FEBRES
- Ali ZAMIR
Les journalistes littéraires :
- Nicolas CARREAU
- Philippe VALLET
Retrouvez le programme complet du festival : https://www.facebook.com/FestivalDesAmeriques/
Pour toute information complémentaire : www.prixdesameriquesinsulaires.com
Contact : 06 90 58 11 45, This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
Claire Gagnaire, secrétaire general du groupe LES MANUFACTURES FEVRIER, entourée des écrivains à la conference de presse.
Les Manufactures Février soutient la danse contemporaine à Bordeaux !
La chorégraphe Christine Hassid nous apprend à déplacer le regard avec sa création « N’ayez pas peur ! »
Notre dénicheur de talents, Coq Héron Productions est fier d’accompagner la nouvelle création de la compagnie Christine Hassid Project. La talentueuse chorégraphe bordelaise Christine Hassid fait sa première de N’ayez pas peur ! à l’Espace Treulon le 7 novembre à Bruges (Bordeaux métropole). Christine est l’artiste associée de la ville de Bruges depuis plus de trois ans.« Ne pas avoir peur…mais de quoi ? D’être une femme, d’assumer un regard féminin sur la danse et le monde, de faire entendre sa voix, » écrit la journaliste Stéphanie Pichon dans Junkpage.
Dans cette pièce pour 5 danseurs, la beauté de la chorégraphie est mise en exergue par des ambiances lumineuses colorées et une scénographie aérienne. Un plafond composé de laizes de papier, conçu par la scénographe Angèle Fachan, évoque un plafond de verre, « avec tous les interstices à explorer ou toutes les raisons de se dire que le monde ancien se fissure, » rajoute Pichon.
Le créateur lumière Michael Varlet, alias Caillou, a collaboré avec Thomas Watt Lighting Pro pour imaginer une création lumière d’un esthétisme rare. Un éclairage scénique composé de LEDs connecté en DMX permet une poésie visuelle, accompagnée d’une sélection de musique étonnante. Les jeux de transparence des laizes de papier en gradation se marient parfaitement avec les mouvements des couleurs et des danseurs, synchronisés à la perfection.
« L’art chorégraphique met en scène le corps, donc le genre. La danse contemporaine pense la recherche de libertés, de nouvelles perspectives et de définitions de soi. Il est alors légitime d’en étudier son féminisme potentiel et réel, » nous explique la chorégraphe. Christine Hassid ne cesse de nous impressionner avec une chorégraphie qui brille par la puissance du langage corporel et la beauté plastique de la mise en scène.
Cette femme chorégraphe « continue à creuser son sillon chorégraphique singulier »* dans le Sud-Ouest, Avignon l’été prochain et bientôt Paris.
*Découvrez l’article « Bravache » dans le journal JUNKPAGE #72 | Novembre 2019.
N’AYEZ PAS PEUR !
Jeudi 7 novembre à 20h30
Espace culturel Treulon – ville de Bruges, Bordeaux Métropole
Chorégraphe : Christine Hassid
Danseurs : Alizée Duvernois, Océane Sasizza, Rafke Van Houplines, Thomas Queyrens, Guillaume Zimmermann.
Dramaturge : Pierre Boisserie
Lumières : “Caillou” Michael Varlet
Scénographie : Angèle Fachan
Costumes : Chouchane Abello assistée de Jean Doucet
Production : Marion Morin
Partenaires : Opéra National de Bordeaux, Ministère de la Culture – DRAC Nouvelle Aquitaine, OARA (Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine), IDDAC, Coq Héron Productions, ADAMI, CCN Malandain Ballet Biarritz, CCN de la Rochelle, Ville de Bruges, Espace Treulon, Le Parnasse de Mimizan, Micadanses
Mécènes : Condor Entertainment et A. Contant., Conservatoire à rayonnement intercommunal Roger Damin de Villejuif
Crédit photo © JanPol