
Edito du président
Face au développement accéléré de notre monde, qui présage sans aucun doute l’épuisement de certaines matières premières, il est impossible de ne pas tenir compte des facteurs environnants. Nous devons apprendre à faire autrement, à travailler et produire de manière plus vertueuse, pour que le vivre ensemble soit possible.
C'est pourquoi j'ai choisi d'investir dans les secteurs de la transition énergétique, de l'industrie, de l'architecture et du design. Je suis convaincu qu'en nous appuyant sur un haut niveau de qualité et d'innovation, nous avons le moyen de rénover la France et d'exporter notre savoir-faire sur les marchés internationaux, tout en maintenant les emplois sur notre territoire.
Découvrez nos manufactures
100% Française
Nos secteurs d'activités
Nos chiffres clés
+500
collaborateurs
dans le monde
160
années
d'expertise cumulées
86
nouvelles machines
de pointe
267,5
millions d'Euros
de CA
63
pays et partenaires
dans le monde
6
showrooms internationaux
Paris - Los Angeles - Jakarta - Dubaï - Shangai - Sedan
Léonard de Vinci au Louvre : la peinture pour recréer le monde

Léonard de Vinci au Louvre : coup de projecteur sur le génie de la Renaissance
Autodidacte, visionnaire avec une curiosité insatiable, Christophe Février se considère « un homme sans lettres » tout comme le grand humaniste Léonard de Vinci. Mort il y a 500 ans à Amboise, le grand peintre de la Renaissance et notre cher industriel d’Angers ont tous les deux des parcours hors normes. Selon Léonard, la meilleure des écoles est l’expérience directe et les carrières de ces deux hommes en est la preuve.
« Le désir de savoir est naturel aux bons. » Léonard de Vinci
Fier de son patrimoine, Christophe Février souhaite transmettre les valeurs de l’humanisme, la culture et l’éducation artistique aux futures générations. C’est pour cela que ce nouveau mécène du Louvre, Les Manufactures Février, vient de graver son nom parmi les grands donateurs dans la Rotonde de Mars, au sein du plus important musée français : Le Louvre. De plus, Christophe Février est ravi de pouvoir organiser une visite privée de l’exposition Léonard De Vinci et faire découvrir à ses collaborateurs les œuvres rares de ce génie visionnaire. « Avec Léonard, l'oeuvre est une expérience qui ne trouve jamais de fin » dit Vincent Delieuvin, conservateur au musée du Louvre et co-commissaire de l'exposition.
Un événement historique et d’exception
Pour rendre hommage au maître de la Renaissance, le musée du Louvre a organisé la plus grande rétrospective de Leonard de Vinci avec 160 œuvres exceptionnelles, certaines prêtées par la reine d'Angleterre, le British Museum, le Vatican et Bill Gates. Cette exposition offre l'occasion unique d'admirer onze tableaux (avec la Joconde) de Léonard alors que seulement vingt-et-un sont attribués par les experts à l’artiste. Parmi eux, La Sainte Anne, Saint Jean-Baptiste et la Madone Benois, prêté par le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg.
Cette rétrospective inédite permet de montrer combien Léonard a mis la peinture au-dessus de tout et comment son enquête sur le monde, qu’il appelait « la science de la peinture », fut l’instrument de son art, dont l’ambition n’était rien moins que d’apporter la vie à ses tableaux. « Léonard est quelqu'un qui est habité par l'idée de dépasser les limites de l'humanité » explique Vincent Delieuvin, conservateur au musée du Louvre et co-commissaire de l'exposition.
Aboutissement de plus de dix années de travail, qui ont vu notamment l'examen scientifique renouvelé des tableaux du Louvre et la restauration de trois d’entre eux, permettant de mieux comprendre sa pratique artistique et sa technique picturale, l’exposition clarifie également la biographie de Léonard en reprenant tous les documents d’archives. Elle dresse le portrait d’un homme et d’un artiste d’une extraordinaire liberté.
L’expérience de réalité virtuelle En tête-à-tête avec la Joconde, réalisée en partenariat avec HTC Vive Arts, permettra au public de découvrir le tableau de plus près. Ainsi, les visiteurs auront l’occasion de voir les couleurs d'origine du portrait, la véritable coiffure du modèle, mais aussi comprendre la technique du « sfumato » et même traverser le patio où La Joconde a posé.
« On a un mythe en tête, des images de peintures et de dessins, mais derrière ces images, il y a des œuvres d'art qui ont une puissance, une émotion en elles éblouissantes, témoigne un des commissaires de l’exposition Vincent Delieuvin. Je crois qu'on ne sort pas indemne de cette visite. »
De gauche à droite: Lydia Harambourg et Clotilde Scordia, historiennes d'art, Christophe Février, mécène du Louvre, Evi Keller, artiste, Chase Doolan, conseillère artistique,
Linda Hellal, directrice marketing stratégique et Jean-Paul Bath, directeur du French Design
Crédit photo © Jan Malaise
Commissaire(s) :
Vincent Delieuvin, conservateur en chef du Patrimoine, département des Peintures, et Louis Frank, conservateur en chef du Patrimoine, département des Arts graphiques, musée du Louvre.
Exposition : Léonard de Vinci
Du 24 octobre 2019 au 24 février 2020
Pour plus d’informations : www.louvre.fr
Les 100 ans de Soulages au Louvre

Une exposition inédite
En invitant le roi du noir pour une exposition personnelle, le Louvre nous incite « à penser l’art du passé à la lumière de temps présent » et orchestre un hommage exceptionnel à l'occasion des 100 ans du peintre.
A l’occasion de cette fabuleuse exposition qui mettra en valeur un ensemble de toiles provenant des plus prestigieux musées du monde, Christophe Février, président du groupe Les Manufactures Février et mécène du Louvre, a choisi de retenir l’exposition « Soulages au Louvre » le 19 décembre pour une visite privée exceptionnelle, qui a réunit 150 personnes, parmi lesquelles clients, partenaires et amis des différentes sociétés du groupe.
Il s’agit de la toute première rétrospective d'un artiste français contemporain au sein du musée du Louvre. Les seuls précédents sont ceux de Picasso et de Chagall lors de leurs quatre-vingt-dix ans. En exposant l’art contemporain au sein du plus important musée de France, l’objectif est double : renouveler et redéfinir les relations entre l’institution et les artistes vivants et redonner vie aux collections pour provoquer le dialogue entre les artistes du passé et ceux du présent.
Confronté à l'art universel
Lors de cette visite privée, les invités découvriront une rétrospective des quatre-vingts ans d’activité du peintre SOULAGES qui fêtera ses 100 ans le 24 décembre 2019. Lors de cette visite, nous allons pouvoir plonger dans l'outrenoir et redécouvrir la peinture française du XIXe.
L’exposition se tiendra dans le prestigieux Salon carré, construit par Le Vau en 1661 et traditionnellement réservé aux chefs-d’œuvre. La lumière y entre par une verrière depuis 1789 et nous permettra de découvrir des œuvres venues du musée Guggenheim, de La National Gallery de Washington ou encore de la Tate Gallery de Londres.
Nous y retrouverons les brous de noix et les goudrons sur verre de la fin des années 1940 jusqu’aux grandes peintures réalisées ces derniers mois.
Du noir à l’outrenoir
L’aventure picturale de Soulages expérimente constamment le rapport entre le noir et la lumière, mais avec l’outrenoir qui instrumentalise le reflet, l’espace et le temps de la peinture sont radicalement transformés, la dotant d’une multiplicité lumineuse totalement inédite.
Au contraire d’une œuvre monochrome, « ce sont des différences de textures, lisses, fibreuses, calmes, tendues ou agitées qui, captant ou refusant la lumière, font naître les noirs gris ou les noirs profonds ».[1]
« Le mot outrenoir, explique Pierre Soulages, permet de ne pas se limiter au phénomène optique, car voir les reflets sur une surface noire, c’est un phénomène optique. Celui-ci agit d’ailleurs sur la sensibilité, l’imaginaire de quelqu’un quand il aime un tableau. Alors j’ai trouvé qu’il fallait un autre mot que le noir lumière, que j’employais alors, et c’est à ce moment-là que j’ai pensé à outrenoir. Il s’agit de la réflexion de la lumière sur les états de surface du noir. »
L’art de Soulages nous transporte
« La peinture, c’est une chose, mais ce qui importe, c’est l’art et ce qui, dans un objet, nous transporte dans des zones de ce que nous sommes et que ne nous connaissons peut-être pas. C’est d’ailleurs ce que je pense de la peinture que je fais. Quand on parle d’une œuvre d’art, de quoi parle-t-on ? De trois éléments : de la chose que c’est, de la volonté de celui qui l’a faite et celui qui la regarde. Le spectateur fait partie de l’œuvre avec ce qu’il pense, avec ce qu’il est.. »[2]
Comme l’expliquait Marie-Laure Bernadac, responsable de l’art contemporain au musée du Louvre, « une œuvre récente apporte souvent un nouvel éclairage à une œuvre ancienne. » Ainsi, cette rétrospective exceptionnelle d’un artiste vivant répond à la problématique ancienne des institutions de transmettre leur patrimoine et le besoin croissant d’ancrer cet art ancien dans le monde contemporain.
Et pour finir, un dernier mot de l’illustre centenaire :
Qu’aimeriez-vous que l’on retienne de vous et de votre œuvre, dans l’avenir ?
Que j’ai tenté de vivre une vraie vie. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde.
Courrez voir cette exposition du 11 décembre 2019 au 9 mars 2020
Département des Peintures, Salon Carré (aile Denon, 1er étage)
Commissaires de l’exposition : Pierre Encrevé † Alfred Pacquement
Informations pratiques
Horaires : de 9h à 18h, sauf le mardi.
Nocturne mercredi et vendredi jusqu’à 22h.
Renseignements : louvre.fr
Crédit photo © Jan Malaise
[1] Communique de presse : Soulages au Louvre, https://presse.louvre.fr/span-stylefont-size-24pxspan-stylefont-size28pxsoulages-au-louvre-span-span/
[2] Pierre Soulages : « Dans ma centième année, j’ai toujours du plaisir à peindre », Béatrice Gurrey, Le Monde, le 24 novembre 2019, https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/11/24/pierre-soulages-dans-ma-centieme-annee-j-ai-toujours-du-plaisir-a-peindre_6020305_3246.html
Eugène Delacroix : du passé au présent

Installé dans le dernier atelier du peintre romantique, le musée Delacroix est un lieu de mémoire, de création et de vie. A ce sujet, Delacroix écrivait dans son journal : "La vue de mon petit jardin et l’aspect riant de mon atelier me causent toujours un sentiment de plaisir."
Passionné de culture, d'histoire et de patrimoine, Christophe Février président du groupe Les Manufactures Février, mécène du Louvre et féru d’art, a souhaité faire découvrir à ses collaborateurs, partenaires et clients, le processus créatif de ce grand maitre de la peinture romantique du XIXe siècle et son laboratoire intime.
Retour en images de la visité privée du musée Delacroix lors de l’exposition "Dans l’atelier, la création à l’œuvre" en septembre dernier.
L’occasion d’admirer un ensemble d’œuvres du maitre ponctué par quelques œuvres d’artistes contemporains
dont Laurent Pernot, Anne-Lise Broyer et Jerôme Zonder. Ils décrivent leur relation spécifique à l’atelier :
« Pour Laurent Pernot, l’atelier est un lieu de recherche et d’actions ; un endroit où les idées sont soumises à l’épreuve de la matière, telles des graines qui germeront ou non ; un refuge solitaire à l’abri des distractions et des agitations humaines. L’atelier est comme un jardin dont il faut prendre soin sans interruption afin de préserver sa fertilité. C’est aussi un lieu où l’on dépense temps et énergie pour ses réalisations. »[1]
Dans le travail de Laurent Pernot, la mémoire est un sujet essentiel. Son œuvre MEMORIA, installée dans le jardin, est le résultat d’un geste de dégradation d’un mot constitué de lettres de pierre. L’œuvre évoque la fonction muséale et donc mémorielle du lieu.
De son côté Jérôme Zonder, présente un grand dessin, une figure couchée, composée ou plutôt décomposée en quatre parties ; comme un possible assemblage de moments, de genres, le temps d’un corps qui se rêve. L’artiste souligne ainsi l’héritage de Delacroix, toujours vivant, maillon essentiel de l’art figuratif moderne. [2]Zonder questionne aussi l’image comme système de représentation, faisant cohabiter le tout et la partie, le proche et le lointain.
Anne-Lise Broyer, quant à elle, a choisi, en concevant le miroir dans lequel se reflète le jardin de Delacroix, d’associer le goût pour la nature du peintre à l’intimité de l’espace de son atelier. Son œuvre embrasse trois lieux différents que Delacroix fréquentait : le parc de George Sand à Nohant, le jardin de sa maison de Champrosay, celui de son atelier. Espace et temps ne font plus qu’un et le visiteur est invité à guetter l’image des souvenirs du peintre ainsi réinventés. [3]Delacroix écrivait dans son Journal : « Dans la peinture, il s’établit comme un pont mystérieux entre l’âme des personnages et celle du spectateur. »[4]
Musée national Eugène Delacroix
Exposition "Dans l’atelier, la création à l’œuvre"
Du 15 mai au 30 septembre 2019
Commissaires : Dominique de Font-Réaulx, musée du Louvre, et Léa Bismuth pour l’art contemporain.
Laurent Pernot, Memoria, 2019
Pierre reconstituée, acier
Production spécifique Musée national Eugène-Delacroix
Jérôme Zonder, Je est un autre, 2019
Fusain, mine graphite et impression sur papier
Production Musée national Eugène-Delacroix
Anne-Lise Broyer, Champrosay, 2019
Miroir au tain gratté sur tirage argentique contrecollé sur aluminium
Œuvre réalisée avec le soutien de La Galerie Particulière, Paris
[1] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[2] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[3] Dominique de Font-Réaulx et Léa Bismuth Dans l’atelier, la création à l’oeuvre Louvre Éditions / Le Passage, 2019
[4] EUGÈNE DELACROIX, Journal, octobre 1822, nouvelle éd. intégrale établie par Michèle Hannoosh, Paris, José Corti, 2009, tome 1, p. 90
HELLIO illumine Versailles pour NOEL

Le jeudi 28 novembre, à 19h, Catherine Pégard, présidente de l’établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles, a donné le coup d’envoi des illuminations de la Ville de Versailles aux côtés de François de Mazières, maire de Versailles et de Claire Gagnaire, Secrétaire Générale du groupe Les Manufactures Février.
« Cette deuxième édition des Illuminations traduit notre engagement de terrain aux côtés des habitants versaillais dans la réduction de leurs factures énergétiques. Grâce aux solutions de lumière LED mais aussi par le biais de travaux d'isolation thermique. Avec HELLIO, qui regroupe l’ensemble des solutions destinées au grand public, notre rôle est de permettre au plus grand nombre de faire des travaux d'économies d’énergie et de vivre mieux au quotidien. » a déclaré Claire Gagnaire, Secrétaire Générale du groupe Les Manufactures Février dont HELLIO fait partie.
Les illuminations de Versailles en quelques chiffres
Du 29 novembre 2018 au 7 janvier 2019 inclus, de 16h30 à minuit et de 6h30 à 8h30 (à l’exception du 24 décembre 2018 au 1er janvier 2019 inclus, soit 9 nuits complètes de 16h30 à 8h30), HELLIO permettra à la ville de Versailles de se parer d’un dispositif 100% lumières LED, une technologie respectueuse de l’environnement, permettant une économie d’énergie de 90% par rapport aux ampoules standard :
- 120 sites décorés
- 1266 décorations :
• 514 motifs (arbustes, ailes, écharpes, etc.) sur candélabres
• 334 arbres et sapins illuminés
• 322 guirlandes
• 96 suspensions
A propos d'HELLIO :
Hellio capitalise sur les 11 ans d'expérience de GEO PLC, l’expert en économies d’énergie du groupe Les Manufactures Février. Avec + de 35 000 maisons et 4 000 immeubles rénovés en France, son rôle est de promouvoir les économies d’énergie auprès du grand public. Grâce à un savoir-faire à 360° acquis aux côtés de millions de Français, Hellio réunit toutes les solutions d'économies d'énergie au travers d’offres clés-en-main, pour faciliter la vie des ménages et leur permettre de réduire leur facture énergétique chaque mois. Ses engagements : qualité, proximité, gratuité.
En savoir + : hellio.eco
Contact Presse HELLIO : Julie Baquet - 06 68 61 86 66 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Contact presse Versailles :Frédérique Meyer - 06 21 09 82 74 / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.